8 novembre 20251 Views 5 min read

Le fonctionnement d’un réseau informatique (séquence dématérialisée) (reformulé factuellement)

Résumé de l’article

Qui : Académie d’Orléans‑Tours (ressource pédagogique).
Quoi : Une séquence pour comprendre un réseau informatique (éléments du réseau, schématisation, identification des appareils par adresses IP et notion de protocole).
Où : Conçue pour un réseau de collège ou un réseau domestique, réalisable en autonomie ou en classe.
Quand : Mise à jour le 7 novembre 2025.
Pourquoi : Aider les élèves à modéliser un réseau et à savoir comment les machines s’y identifient et communiquent, avec des modalités souples (maison, salle banalisée, ou en parallèle).

Niveau et public cible

CM2 – Élèves (cycle 3) / Collégiens (cycle 4) / Citoyens débutants EMI

Objectifs pédagogiques

Comprendre : comment se compose un réseau (box/routeur, switch, postes, imprimante), le représenter par un schéma simple, et expliquer l’identification des appareils grâce aux adresses IP et aux protocoles (selon la séquence décrite et réalisable à la maison, en classe ou en parallèle).
Identifier : les idées reçues sur les réseaux (par exemple confondre adresse IP et identité civile, croire qu’un “protocole” est un mot de passe) et repérer les formulations trompeuses à ce sujet.
Vérifier : une information similaire (ex. “tous les ordinateurs ont la même IP au collège”) en observant la configuration d’un poste, en comparant les IP sur le réseau et en expliquant les résultats.

Contenu du cours

« L’objectif de cette séquence est de comprendre le fonctionnement d’un réseau scolaire ou domestique. »

[Cours pédagogique : partir de l’exemple concret de la séquence de l’Académie d’Orléans‑Tours, qui propose d’identifier les éléments d’un réseau, de les schématiser, puis d’expliquer comment chaque appareil est reconnu par une adresse IP et communique grâce à des protocoles. On applique cela à deux contextes proches des élèves : le réseau du collège et celui de la maison. Ensuite, on élargit aux bons réflexes EMI pour ne pas se laisser tromper par des affirmations approximatives sur les réseaux.]

Étape 1 : Repérer et nommer les éléments d’un réseau (box/routeur, switch, ordinateurs, tablette, imprimante) et dessiner un schéma simple avec des flèches qui montrent la circulation des données.
Étape 2 : Expliquer l’adresse IP comme “numéro de rue” de chaque appareil dans le réseau et définir un protocole comme “langue commune” que les machines utilisent pour se comprendre.
Étape 3 : Vérifier et raisonner en EMI : confronter une affirmation (ex. “tous les appareils partagent la même IP”) avec une observation guidée (affichage des IP locales différentes), puis formuler une conclusion claire.

Mots-clés simplifiés

Réseau : un groupe d’appareils reliés entre eux pour s’échanger des informations.
Adresse IP : le numéro unique d’un appareil sur le réseau pour qu’on puisse le trouver.
Protocole : un ensemble de règles (une “langue”) que les appareils suivent pour communiquer.

Exemples concrets reliés à l’article

Exemple 1 : Au collège, l’ordinateur de la salle techno envoie un document vers l’imprimante via le switch et le routeur ; son adresse IP permet à l’imprimante de savoir d’où vient la demande.
Exemple 2 : À la maison, la tablette et le PC sont connectés au Wi‑Fi de la box : chacun a une IP locale différente (ex. 192.168.1.15 et 192.168.1.16) pour éviter les confusions.
Exemple 3 : En autonomie, un élève dessine le schéma de son réseau domestique (box → Wi‑Fi → tablette/PC/imprimante) puis annote où se trouvent les IP et les protocoles utilisés.

Quiz interactif EMI

Réponds puis clique pour vérifier :

Fiche synthétique

Point clé 1 : Un réseau se comprend en identifiant ses éléments, en les schématisant, puis en expliquant l’adressage IP et les protocoles de communication.
Point clé 2 : Contexte d’application direct : réseau du collège (salle banalisée, imprimante, switch) ou réseau domestique (box/routeur, Wi‑Fi, appareils).
Point clé 3 : Réflexe EMI : ne pas confondre adresse IP et identité d’une personne ; vérifier les affirmations techniques par l’observation et la comparaison.